Ao Nang, le retour
Le 6 février 2013 :
Évidemment quand on quitte ça :
Pour ça :
Ya déjà de quoi remuer la queue. Sauf que c'est pas exactement comme ça que ça s'est passé si on met de côté les 2 premiers jours...
Après un vol le 5 février 2013 depuis notre île coréenne vers la capitale, et une nuit seoulite à souhaits, nous voila frais comme des gardons de rivière sur le tarmac de Krabi après 6 heures de vol seulement et un joli survol de la baie de Hong Kong :
Étant donne ce qui attend James pendant son stage d'instructeur de plongée qui démarre deux jours plus tard, la judicieuse petite Barbara s'est dit qu'il fallait atterrir en douceur.
Et pour ce qui est de la douceur on ne connaît rien de mieux que la délicieuse plage de Long Beach at Ao Nang qu'on avait deja découverte il y a 2 ans. 4 kms de plage rien que pour nous.
C'est donc la qu'on se pose pour 2 nuits dans le même resort au Long beach Krabi villa (Résa : hostelbooker.com, 20 E/nuit), rien n'a changé.
Pendant qu'à 3 kms at vol d'oiseaux, des hordes de touristes continuent de s'entasser à la plage d'Ao Nang entre 23 masseuses et 45 vendeurs d'ananas.
Alors en 3 mots, Long beach c'est ca :
A gauche : A droite :
Et au milieu il y a nous, posés comme 2 fleurs sur le sable chaud à écouter la symphonie marine...
2 heures plus tard, on en est au même point, sauf que James a tout de même trouve la force d'aller au raz de l'eau pour la photo comme vous pouvez le constater.
A gauche : A droite :
Le lendemain, pour faire autre chose que de rester tels deux ravis de la crèche à bader cette plage qui nous fascine tant, on décide de franchir la rive de l'extremite de la plage. Bref de rejoindre la civilisation.
Un petit coup de bateau pour traverser le bras de mer, et nous voila a Nopphara Tharat, cette plage boudée par les guides mais nettement moins par la population locale.
Les mêmes familles thaie y pique-niquent gaiement à l'ombre des gamins qui barbotent. Un régal et une sacrée fenêtre sur la vie locale. On y prend le petit dej avec des fruits délicieux dont bien sur on ne sait pas le nom (goût lychee citronné).
Puis on va faire un tour à Ao Nang juste histoire de se rappeler pourquoi il faut pas y aller et la aussi rien n'a changé. Exactement la même sensation qu'il y a 2 ans. Il existe comme ça des lieux qui vous donne envie de déguerpir au moment précis ou vous y posez votre première tong.
Si on met de côté les camelots divers et les bus entiers de touristes au choix : soit débraillés, soit grossiers, soit brulés au second degré, c'est pas compliqué il doit rester a peu près plus que les arbres sur le front de mer d'Ao Nang.
On va dire que je fais ma réac, mais Hildegarde qui va acheter ses clopes en micro bikini, ou Marcel qui se grattent les choses en rotant dans sa bière, j'ai du mal.
Comme disait ma grand-mère, quand on se donne le droit d'aller respirer l'air des autres, respecter leurs usages c'est quand même le B.A.B.A de chez binaire.
Bon pas à Ao Nang.
Retour rapide sur notre plage pour jouer à Jane et Tarzan (sans chitah).
Et puis le soir je me fais des copains...
Quoique ca serait plutot avec mon pad thai qu'ils copinent mes copains.